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Björk livre son 9e album solo « Utopia ». L’Islandaise revient aux sources et nous envoûte dans un univers enchanté. Retour vers le passé, celui de l’année 1997. Vingt ans après la sortie du fabuleux Homogenic, Björk semble s’œtre replongée dans cet univers glacial, métallique, mais néanmoins végétal, afin d’éblouir et rappeler qu’elle est la Déesse de la musique nordique. Largement moins expérimental au niveau sonore, Utopia montre que l’artiste islandaise sait parfois revenir à la simplicité, à la pop expérimentale, qu’elle avait perdue ces dix dernières années. [https://rocknfool.net/]

L'album de 18 titres présente la voix si distincte de la chanteuse Greta Kline enrichie par la sensibilité de ses membres : le bassiste/chanteur David Maine, la claviériste/chanteuse Lauren Martin et le batteur Luke Pyenson, qui ont chacun joué un rôle fort dans les compositions de ce disque. Vessel constitue un énorme bond en avant dans la carrière du groupe. La sensibilité unique de l'album, ses récits ésotériques et son énergie révélatrice, lui permettent d'exister comme un chapitre distinctif dans l'autobiographie musicale de Kline. Le groupe fournit aux auditeurs un éventail d'anecdotes, d'observations et d'affirmations puis les charge d'organiser les morceaux de façon à ce qu'ils puissent avoir leur propre sens.

La nouvelle sensation du rock sudiste, en direct de la Floride ! Le journal Orlando Weekly a tout simplement consacré 7 années de suite, Thomas Wynn & the Believers comme le meilleur groupe de rock de la ville et comme le meilleur groupe de country/folk d'Orlando. avec ce nouvel album et la signature sur le label Mascot Records, le combo va se donner les moyens d'asseoir son assise au-delà des frontières d'une Floride déjà conquise. Cet album est rempli des ingrédients qui rendent la musique américaine intemporelle - la chaleur sudiste et profonde des guitares - des rythmes complexes qui pulsent - et les harmonies vocales. En effet, avec sa soeur Olivia, ils chantent ensemble d'une façon unique et avec la magie que seule une fratrie peut développer.

Après trois albums couronnés de succès, le groupe Aaron revient sur le devant de la scène avec un album intitulé « We Cut the Night ». Porté par une ambiance pop-rock à laquelle s'ajoute quelques influences électro, cet album est une somptueuse ballade nocturne et le duo parvient une fois de plus à nous transporter par son sens inné de la mélodie.

Le secret le moins bien gardé de la nouvelle scène postpunk? C'est The Murder Capital. Ces derniers mois, le quintet de Dublin composé de James McGovern, Morgan Wilson, Damien Tuit, Matt Wilson et Cathal Roper a réussi à faire parler de lui avec seulement deux chansons. Le groupe s'est particulièrement illustré sur scène en première partie de Slaves, Shame ou encore Fontaines DC, dégageant une énergie pure, punk et magnétique et s'est rapidement imposé comme l'un des groupes les plus prometteurs de 2019. Cet automne The Murder Capital se lance dans une tournée française qui passera notamment le 6 novembre par le Nouveau Casino de Paris.

Les trois Anglais visent haut : qu'ils parent leur dream-pop de riffs bruitistes, d'élégance suave ou d'arrangements luxuriants, Alex Shields et ses troupes font preuve d'une constante inventivité, livrant ainsi un troisième album sensoriel étonnant, à la fois sépulcral et vaporeux, sublimé par des rengaines indie-pop aussi foudroyantes que Steps ou Bored Again.(Les Inrocks).

Sixième disque des Jicks de Malkmus. Le temps passe vite¦ Après avoir passé une décennie à maltraiter des mélodies avec Pavement, Stephen Malkmus a décidé de maltraiter des mélodies avec les Jicks. Histoire de cadrer les choses, qui sont toujours non cadrées avec le docteur Foutraque de l'indé U.S. (http://www.soul-kitchen.fr/45139-stephen-malkmus-jicks-wig-jagbags)